
L'ostéopathique, Pour qui ?
L'ostéopathie est ouverte à tout le monde ! En effet que ce soit pour les nouveau-nés ou les séniors, en passant par les sportifs, l'ostéopathie est une méthode hollistique, prenant le patient dans sa globalité.
Il y a peu de contre-indication.
Il y a différentes techniques pour traiter en ostéopathie, voici ici un petit aperçu des techniques douces que j'utilise essentiellement :
Musculaire et articulaire
La technique musculaire est un mode d'étirement des muscles, on effectue un étirement passif après une contraction active isométrique, en profitant de la phase de relaxation post-isométrique. On utilise le « réflexe ostéotendineux inverse » qui permet l'inhibition de la contraction musculaire quand la tension du muscle augmente trop.
La technique articulaire est l'utilisation de manipulation structurelle, à haute vélocité et faible amplitude, audible par le patient par un "crac" indolore.
Cranio-sacré
Ce mécanisme est un mouvement rythmique des os du crâne, fait par l’intermédiaire des membranes de tensions réciproques, entraînant une corrélation avec le sacrum. Ce système permet une bonne circulation du liquide céphalo rachidien (LCR). Cela peut être utilisé en tant que diagnostic et/ou traitement.
Tissulaire et fasciale
Elles se fondent sur la tension tissulaire, la densité et la vitesse. Ce sont une combinaison entre un outil diagnostic et un traitement.
Massage
Permet de retrouver un profond bien-être corporel. Avec différentes pressions en fonction du bienfait recherché.
Viscérale
Cette technique va agir sur les organes thoraciques et digestifs, notamment pour permettre de retrouver un bon fonctionnement général de l'organisme.
En effet, trois zones intéressent l'ostéopathe dans le domaine de l'ostéopathie viscérale :
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le thorax (qui abrite le cœur et les poumons) et la gaine viscérale du cou ;
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l'abdomen (dans lequel se trouvent les organes digestifs et les reins) ;
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le petit bassin (avec la majeure partie du système uro-génital).
Technique fonctionnelle
C’est une technique ostéopathique douce et atraumatique dont le but est de traiter les dysfonctions somatiques en plaçant passivement l’articulation puis en la maintenant dans une position telle que les tensions myo-fasciales soient minimales.
On parle aussi parfois de position de confort maximal lorsqu’on fait référence à la méthode de Jones. Pour chaque dysfonction, il existe une technique de correction spécifique.
Le mode d’action passe notamment par la régulation de l’activité des propriocepteurs contenus dans les muscles responsables de la dysfonction.